Face aux crises sanitaires récurrentes et aux épidémies qui frappent la République Démocratique du Congo, le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) a annoncé son intention d’augmenter le financement des entreprises pharmaceutiques locales. Cette initiative vise à garantir un accès à des médicaments de qualité pour la population congolaise

Une mission de prospection en Europe

Le Directeur Général du FPI, Bertin Mudimu, a récemment mené une mission en France et en Allemagne pour inspecter les projets proposés par les sociétés FUMU Sarl et BENELUX AFRO CENTER « BAC-RDC ». Ces projets, soutenus par des partenaires étrangers, visent à développer des unités de production pharmaceutique et à transférer des technologies essentielles à la RDC.

Visite des installations de IPM TECHNOLOGIES en France

Du 13 au 14 septembre, la délégation du FPI a visité les installations de IPM TECHNOLOGIES, à Agen. Cette société, spécialisée dans des solutions modulaires pour l’industrie pharmaceutique, a présenté un projet d’implantation d’unités de production de médicaments injectables et de soins cardiologiques à Kinshasa. Le projet inclut également l’installation d’un centre de dialyse de dix postes, répondant ainsi à un besoin urgent en matière de santé.

Inspection du Groupe ROMMELAG en Allemagne

Le 16 septembre, la délégation s’est rendue chez le Groupe ROMMELAG à Sulzbach-Laufen. Cette entreprise est réputée pour sa technologie Blow-Fill-Seal (BFS), qui permet un conditionnement fiable des produits pharmaceutiques. Le projet « BAC-RDC » ambitionne de développer une production locale de solutés massifs, réduisant ainsi la dépendance de la RDC aux importations.

Vers une couverture santé universelle

Bertin Mudimu souligne l’importance de ces projets dans le cadre de la Couverture Santé Universelle, initiative prônée par le Président Félix Tshisekedi. « Notre pays souffre d’un manque d’équipements et de traitements pour la dialyse. Nous devons améliorer notre capacité de production locale afin de garantir l’accès à des médicaments de qualité pour tous les Congolais », a-t-il déclaré.

Le FPI envisage de financer ces projets après une analyse approfondie, en collaboration avec les promoteurs des deux initiatives. Cette démarche vise à structurer des modalités de financement conformes aux règlements en vigueur, afin d’assurer un impact positif sur la santé publique en RDC.

Avec ces efforts, le FPI espère non seulement améliorer l’accès aux soins de santé, mais aussi stimuler l’industrialisation du secteur pharmaceutique dans le pays, contribuant ainsi à un avenir plus sain pour la population congolaise.

L’or Kalombo

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La province de Maï-Ndombe, située dans l’Ouest de la République Démocratique du Congo, fait face à une grave épidémie de Mpox. Cette année, au moins 496 cas ont été signalés, entraînant 33 décès, soit un taux de mortalité alarmant de 6,7 %, selon les déclarations du responsable intérimaire de la division provinciale de la santé.

L’épidémie touche toutes les 14 zones de santé de la province, soulignant l’ampleur de la crise. Bien que le Mpox ne soit pas une maladie nouvelle dans cette région, Maï-Ndombe en subit les effets depuis les années 1970, ce qui témoigne de la persistance de la maladie.

Un des facteurs aggravants de cette situation est la proximité de la forêt équatoriale, qui joue un rôle crucial dans la propagation de la maladie. La chasse est une activité essentielle pour de nombreuses communautés locales, et cela complique la gestion de l’épidémie. Dr Manassé Iyemenzayi, responsable intérimaire de la division provinciale de la santé, explique : « Nous faisons partie des cinq provinces les plus touchées par cette maladie. Notre écosystème est intimement lié à la forêt, et les habitants s’engagent principalement dans la chasse et l’élevage. Lorsqu’un chasseur découvre un animal mort, il ne le signale généralement pas. Souvent, c’est sa famille qui récupère l’animal, et il finit par le vendre sur le marché. Ce comportement contribue à la récurrence de l’épidémie chaque année, car nous sommes immergés dans la forêt équatoriale. »

Pour faire face à cette crise, plusieurs mesures ont été mises en place. Le comité provincial de gestion des urgences sanitaires se réunit régulièrement pour coordonner les efforts de lutte contre l’épidémie. De plus, des campagnes de sensibilisation sont menées à travers les médias locaux pour informer la population sur les risques associés au Mpox et sur les gestes à adopter pour se protéger.

Il est essentiel que la communauté prenne conscience des dangers que représente cette maladie et agisse de manière proactive pour prévenir sa propagation. La collaboration entre les autorités sanitaires et les habitants est cruciale pour endiguer cette épidémie et protéger la santé publique.

L’or Kalombo

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Dans un effort pour améliorer l’accès aux soins de santé en République Démocratique du Congo , vendredi 13septembre dernier, le Coordonnateur de l’Unité de Gestion des Projets de Développement du Système de Santé (UG-PDSS), Dr Dominique Baabo, a remis officiellement quatre nouvelles infrastructures de santé au gouverneur de la province du Kasaï, Crispin Mukendi.

La cérémonie s’est tenue en présence de plusieurs autorités provinciales et membres de la communauté, représentant une avancée significative dans le secteur de la santé de la région.

Les établissements remis comprennent :

• Centre de Santé de Mukuaya
• Centre de Santé Moyo-Mupeluke
• Centre de Santé Kalupombe
• Centre de Santé de Reproduction Kamalenga

Ces infrastructures, actuellement en cours d’équipement avec du matériel médical, des forages et des systèmes solaires, visent à renforcer l’accès à des soins de qualité pour la population du Kasaï. En parallèle, 56 autres infrastructures sont en construction et devraient être remises d’ici la fin de l’année.

Ces projets modernes sont le fruit d’une collaboration étroite entre le gouvernement et la Banque mondiale, qui apporte un soutien technique et financier dans le cadre du Programme Multisectoriel de Nutrition et Santé.

Cette initiative constitue un grand pas vers une meilleure santé pour les habitants du Kasaï, promettant un avenir où l’accès aux soins de santé sera renforcé et amélioré.

L’or Kalombo

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Le Gouvernement central a fourni, mardi 10septembre dernier, 5 tonnes de médicaments et de kits de prévention à la province du Nord-Kivu, dans le but de renforcer la prise en charge des cas de Mpox.

Cette dotation répond à un besoin urgent, alors que 8 des 34 zones de santé de la province sont actuellement touchées par cette épidémie. Le gouverneur militaire, Peter Cirimwami, qui a réceptionné l’aide, a exprimé sa gratitude : « Nous remercions le Gouvernement central pour avoir pensé à nous, surtout avec plus de 3 millions de déplacés vivant dans des conditions difficiles. Ces produits sont essentiels pour leur protection. »

Le Dr Gaston Lubambo, médecin chef de la Division provinciale de la santé au Nord-Kivu, a également appelé la population à respecter les mesures de prévention contre le Mpox. « L’épidémie est présente, et nous devons tous unir nos efforts pour adopter des comportements qui freinent la contamination. Il est crucial que toutes les zones touchées bénéficient de ces ressources pour assurer une prise en charge adéquate et gratuite », a-t-il déclaré.

Récemment, Un premier cas confirmé de la variole du singe (Mpox) a été enregistré dans la zone de santé de Kyondo, à Kyavinyonge, en territoire de Beni au Nord-Kivu.

L’or Kalombo

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Le ministère de la Santé publique de la République démocratique du Congo a lancé un nouveau calendrier vaccinal destiné à garantir la protection des enfants contre diverses maladies évitables. Ce calendrier, élaboré dans le cadre des Programmes Élargis de Vaccination (PEV), définit les vaccinations essentielles à administrer dès la naissance jusqu’à l’âge de 15 mois.

Une des particularités de ce calendrier est l’ajout du vaccin contre le paludisme, une maladie qui représente un défi majeur pour la santé publique dans le pays. Le calendrier indique que le vaccin antipaludique sera administrer à différents âges, à savoir: 6 mois,7 mois,8 mois et 15 mois.

Le programme élargi de vaccination appelle les parents à respecter les rendez-vous de vaccination de leurs enfants, soulignant que « vacciner c’est aimer, vacciner c’est protéger ». Cela met en avant l’engagement du gouvernement à améliorer la santé des enfants tout en réduisant l’incidence des maladies évitables.

Rappelons que le ministre de la santé publique hygiène et prévoyance sociale Samuel Roger Kamba avait réceptionné jeudi 13 juin 2024 à l’aéroport internationale de N’djili à Kinshasa, un lot important de 693.500 doses du vaccin antipaludique R21/Matrix-M ; grâce au soutient de plusieurs partenaires, notamment, l’Organisation mondiale de la Santé, l’UNICEF et d’autres organisations internationales.

L’or Kalombo

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La République démocratique du Congo (RDC) a enregistré 1.468 nouveaux cas suspects de Mpox (variole du singe) durant la 35ème semaine épidémiologique, du 25 au 31 août 2024, selon des sources sanitaires.

Le Dr Josaphat Sikoti, responsable du service de prise en charge holistique des cas de Mpox au Programme national de lutte contre le Mpox et les fièvres hémorragiques virales (PNLMPOX-FHV), a déclaré : « Au cours de cette semaine, 143 nouveaux cas ont été confirmés en laboratoire et 38 décès ont été enregistrés, entraînant une létalité de 2,6 % ».

Depuis le début de l’année jusqu’à la dernière semaine d’août, la RDC a totalisé 21.153 cas suspects de Mpox, dont 692 décès, ce qui représente une létalité de 3,2 %. Au total, 5.002 cas confirmés ont été dénombrés sur 10.272 échantillons analysés, avec un taux de positivité de 48,7 %.

Actuellement, le centre de traitement Mpox de l’hôpital général de référence de Kinshasa (anciennement hôpital Maman Yemo) prend en charge 32 patients, dont 23 cas confirmés. Ce centre a enregistré 11 guérisons récemment.

Le Dr Sikoti a précisé qu’il n’existe pas de traitement curatif pour le Mpox ; les soins sont principalement palliatifs, axés sur le soulagement des symptômes. Les patients bénéficient également d’un soutien nutritionnel et psychosocial. Les cas suspects et confirmés reçoivent un traitement similaire. En cas de résultats négatifs pour les cas suspects, le traitement est interrompu et ces patients sont dirigés vers un centre adapté pour la prise en charge de leur maladie.

L’or Kalombo

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Dans le cadre de la lutte contre le Mpox, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a livré samedi 07 septembre dernier, quatorze tonnes de fournitures et d’équipements médicaux à la République démocratique du Congo (RDC). Ce soutien vise à renforcer les capacités sanitaires du pays face à cette épidémie croissante.

Les fournitures, qui comprennent des équipements de protection individuelle, des tentes, des traitements et d’autres articles médicaux, sont suffisantes pour couvrir les soins cliniques de 16 800 personnes pendant trois mois. Elles ont été expédiées depuis le Centre de l’OMS basé à Nairobi, au Kenya, et représentent une première livraison d’une valeur d’un million de dollars. « D’autres livraisons sont annoncées dans les semaines à venir », a indiqué Mme Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique.

Ces fournitures permettront aux établissements de santé de disposer des produits essentiels pour offrir des soins sûrs et optimaux aux patients, contribuant ainsi à la riposte d’urgence en cours des autorités sanitaires, avec le soutien de l’OMS et d’autres partenaires.

En RDC, pays le plus touché de la région africaine, l’OMS intensifie son appui aux autorités nationales. « L’Organisation a déployé des experts et exploité les capacités nationales existantes en redéployant plus de 400 personnes sur le terrain pour soutenir les opérations de première ligne relatives principalement à la surveillance, aux investigations sur les cas, à la recherche des contacts et à la participation communautaire », a précisé Dre Matshidiso.

De plus, une équipe d’experts en vaccins est également déployée dans le pays pour aider à la planification et au déploiement des vaccins. « Grâce au don de l’Autorité européenne de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire, la République démocratique du Congo a reçu 99 000 doses de vaccin anti-Mpox, et 101 000 doses supplémentaires devraient être livrées », a-t-elle ajouté.

La RDC connaît de multiples flambées de Mpox dues à différentes souches du virus. La flambée actuelle à l’est du pays est causée par un nouveau variant du clade I, appelé clade Ib, qui se propage d’une personne à une autre, notamment par voie sexuelle. Cette souche a désormais été détectée dans d’autres pays d’Afrique centrale et de l’Est, notamment le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l’Ouganda, et a également été observée chez des voyageurs dans des pays hors d’Afrique.

L’or Kalombo

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La banque mondiale, representée par le docteur Michel Muvudi, a remis officiellement mercredi 5 septembre dernier un lot des médicaments destinés à la lutte contre la variole du singe (Mpox) , à Bukavu, en République démocratique du Congo.

Lors de cette cérémonie de remise organisée à l’entrepôt de la « CDR Karhale », Le vice-gouverneur du Sud-Kivu, Jean-Jacques Elakano, a reçu ce lot de médicaments, soulignant l’importance de respecter les mesures sanitaires. « En réceptionnant ces kits de médicaments, je vous exhorte à pratiquer les mesures barrières, à vous laver régulièrement les mains avec du savon et à bien cuire vos aliments. Ces comportements sont cruciaux pour interrompre la chaîne de transmission », a-t-il déclaré. Il a également rappelé que la prise en charge des patients est gratuite dans les centres de traitement.

Cette initiative de la Banque mondiale vise à assurer la prise en charge de plus de 80 % des malades. Jean-Jacques Elakano a exprimé sa gratitude envers l’institution pour cet appui, qui arrive à un moment crucial, alors que la province du Sud-Kivu est l’épicentre de l’épidémie. Depuis le début de l’année, la province a enregistré plus de 1 300 cas de mpox, dont 31 décès, touchant principalement les personnes âgées de 15 à 49 ans, y compris des enfants, notamment dans la zone de santé Miti-Murhesa.

La cérémonie a également vu la participation de plusieurs autorités, dont le maire de Bukavu, le bourgmestre de Kadutu et le chef de la Division provinciale de la santé du Sud-Kivu, ainsi que des représentants de diverses organisations des Nations Unies.

Cette remise de médicaments au Sud-Kivu intervient une semaine après une action similaire à Kinshasa, où des médicaments contre le mpox ont été remis au Ministère de la Santé. Ce geste témoigne de l’engagement de la Banque mondiale, à travers le Projet REDISSE IV, à soutenir le gouvernement congolais dans sa lutte contre cette maladie préoccupante.

L’or Kalombo

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Ce jeudi 5 Septembre, près de 100 000 doses de vaccin contre le Mpox sont arrivés à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), marquant ainsi la première expédition de vaccins dans le pays dans la démarche de la lutte contre cet épidémie qui sévit depuis plusieurs mois.

En réponse à l’urgence de santé publique déclarée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), HERA a rapidement répondu à l’appel d’Africa CDC en fournissant des vaccins à la RDC. La Commission européenne a également débloqué des fonds pour soutenir les efforts humanitaires et de prévention, notamment en RDC et au Burundi.

Ces vaccins font partie des 215 000 doses de MVA-BN® acquises par l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA) de la Commission européenne, qui s’est engagée à les partager avec les pays africains touchés par l’épidémie de Mpox. En outre, l’Équipe Europe prévoit de fournir 351 500 doses supplémentaires provenant de divers États membres, portant le total à au moins 566 500 doses.

Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) collabore avec Africa CDC pour appuyer les efforts épidémiologiques en RDC. Une subvention de 9,4 millions d’euros a été attribuée pour améliorer l’accès aux diagnostics et au séquençage du Mpox dans la région.

Cette initiative s’inscrit dans la stratégie de l’Union européenne en matière de santé mondiale, visant à renforcer la santé publique en Afrique et à soutenir les partenaires internationaux. La Commission européenne coordonne la réponse des États membres face à l’épidémie de Mpox à travers des réunions régulières et le mécanisme de protection civile de l’Union.

Le prochain lot de 101 000 doses de vaccins contre la Mpox sera livré ce week-end en en RDC.

L’or Kalombo

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Comme l’a annoncé Jean Kaseya, directeur général de l’agence de santé de l’Union africaine (Africa CDC), ce mercredi 04 septembre, Près de 100 000 doses de vaccins contre le mpox sont attendus le jeudi 5 Septembre à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), le pays le plus touché par l’épidémie.

« Nous sommes très heureux de l’arrivée de ce premier lot de vaccins en RDC. Il s’agit de 99 100 doses qui arriveront demain à 12h10 à l’aéroport de Kinshasa. » a déclaré Jean Kaseya, directeur général de l’agence de santé de l’Union africaine (Africa CDC).

La RDC a enregistré plus de 17 500 cas et 629 décès depuis le début de l’année, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Au total, l’épidémie de Mpox touche actuellement 13 pays africains, dont le Burundi (796 cas), le Congo-Brazzaville (162 cas) et la République centrafricaine (45 cas), d’après les données de l’AFrica CDC au 27 août. La montée en flèche des cas et l’émergence d’un nouveau variant (clade 1b) ont conduit l’OMS à déclarer, mi-août, une « urgence de santé publique mondiale ». Le 30 août, l’OMS a annoncé que 230 000 doses du vaccin MVA-BN, développé par le laboratoire danois Bavarian Nordic, étaient prêtes à être envoyées aux régions touchées. L’Espagne, la France et l’Allemagne ont également promis d’expédier des vaccins aux pays africains.

le directeur générale de Africa CDC a également remercié l’Union européenne, en précisant : « Nous remercions l’Union Européenne, à travers l’Autorité européenne de réponse aux urgences sanitaires, d’avoir immédiatement répondu à notre appel à la solidarité visant à assurer l’accès au vaccin mpox dans les pays affectés de l’Union africaine. »

Récemment, le bureau de l’OMS en Afrique a annoncé l’envoi de 10 000 doses au Nigeria, devenant ainsi le premier pays africain à recevoir des vaccins, en dehors des essais cliniques, pour lutter contre l’épidémie. Ces vaccins ont été offerts par les États-Unis.

Le Mpox, anciennement connu sous le nom de variole du singe, est une maladie virale transmissible de l’animal à l’homme, mais qui peut également se propager entre humains, entraînant fièvre, douleurs musculaires et lésions cutanées.

L’or Kalombo

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