Ce n’est plus un secret, des dizaines de personnels soignants se sont infectés au sein de l’hôpital de Ngaliema. Sans doute que dans d’autres hôpitaux la situation serait la même. Cette situation déplorable doit induire des actions fortes et ciblées à l’endroit des personnes qui dirigent la commission de prévention et contrôle des infections.

Alors que des ressources sont données pour cette riposte du COVID-19, il est temps d’en affecter l’essentiel principalement aux structures de prise en charge et de donner aux agents de la santé le minimum pour soigner les malades.

Cette triste situation doit nous interpeller tous et principalement ceux qui décident de l’affectation desdits moyens. Il est temps de renforcer la PCI dans les structures de prise en charge pour éviter ce type de catastrophe.

Rédaction